31.3.14

Les femmes menées par Saturne dans son rapport avec les fixes.




Les femmes comme pointeuses du mâle dominant en cyclologie
Par Jacques  Halbronn


On sait que selon notre astrologie, les femmes jouent un rôle d’interface entre les hommes et les signaux de Saturne  – on connait le rôle de la Lune par ailleurs qui affecte notamment le comportement sexuel des Juifs religieux (cf. le film d’Amos Gitai, « Kadosh ») du fait de la menstruation.
On insiste sur le pluriel car pour nous les femmes ne jouent de rôle dans nos sociétés que par la convergence de leurs comportements. Autrement dit,, un des effets des signaux de Saturne (cf. l’Astrocyclon) serait de déclencher un processus de ralliement des femmes autour d’un nombre limité d’individus hommes. L’ampleur du phénomène – dans sa dimension statistique, constituerait la preuve d’une certaine synchronie entre les humains et certaines configurations astrales, lesquelles n’épuisent d’ailleurs aucunement les combinaisons ^possibles d’astres, ce qui montre bien qu’il s’agit d’un artefact  de l’ordre de l’art et de la technique plutôt que de l’ordre de l’astronomie et de la Science.
Nous proposons donc de conduire des travaux statistiques sur la cyclicité sociale des femmes en rapport avec la formation de certaines « angularités » entre Saturne et les 4 étoiles fixes royales formant une sorte de quadrilatère au firmament.
En vérité, il conviendrait de mener des recherches en sens inverse pour la phase descendante de Saturne s’éloignant progressivement de la conjonction planétaro-stellaire. Cette phase inverse déterminerait chez les femmes  un processus collectif  de séparation et d’abandon  lui aussi assez massif mais peut-être moins facile à appréhender. Mais les taux de mariage ou de concubinage officiel  et de divorce ou de séparation pourraient être ici significatifs. On notera la similitude des formules : l’union se situe aussi bien au niveau de la conjonction planéte/étoile que de  l’union entre un homme et une femme. Il est clair que cela ne vaut pas pour les couples comportant des êtres de même sexe.
Tout se passe, analogiquement, comme si  l’étoile représentait l’homme vers le quel Saturne se dirige puis dont il s’éloigne. En ce sens, Saturne représenterait les femmes se rapprochant ou s’éloignant des 4 étoiles royales que nous associons aux hommes. Les femmes, de façon plus ou moins subconscientes (l’ »anatomie de la psyché » fonctionne de la même façon que celle du corps, c’est-à-dire en grande partie à notre insu) suivraient la progression de Saturne dans le ciel (planéte visible et connue  depuis des millénaires à l’instar des 4 étoiles, à la différence des nouvelles planètes à la fois inconnues de l’Antiquité parce qu’invisibles à l’œil nu ou en tout cas non repérées et baptisées).
Le fait que Saturne passerait un certain seuil (Rubicon) –correspondant au début de la phase ascendante ou a contrario de la phase descendante,  serait un signal fort pour la gent féminine et mobiliserait celle-ci en quête du ‘mâle dominant »,  ou bien dans une attitude de rejet – qui rappellerait celle des chattes face à leurs mâles, lorsqu’elles ont été fécondées, quand bien même ne se donneraient-elles pas consciemment le mot. C’est l’addition de ces comportements « individuels » qui atteint une certaine masse critique.
L’obstacle épistémologique  qui aura retardé les avancées de la recherche astrologique tient au fait que l’on n’ait pas pris conscience  de l’importance des comportements collectifs, par-delà l’apparence des individualités chez les femmes. En fait, les femmes ont des comportements très semblables de l’une à l’autre. En ce sens, les femmes tentent de se différencier au maximum pour donner le change. Même quand elles lisent à voix haute un même texte elles cherchent à tout prix à se différencier de par leur style, pour se démarquer de leurs congénères. Inversement, les hommes sont en fait beaucoup plus individualisés que les femmes, dans leurs activités tant scientifiques qu’artistiques et peuvent donc se permettre de ne pas se différencier extérieurement d’où un habillement généralement plus sobre et assez semblable. Ce qui peut sembler paradoxal.
Les hommes, autrement dit,  se ressemblent moins entre eux dans leurs activités que ne le font les femmes et ce pour l’excellente raison que chacun part d’une observation personnelle  du monde et non d’un seul et même texte comme le font les femmes. Les hommes sont dans l’unicité, les femmes dans la multiplicité. En ce sens, les femmes jouent un double  rôle de diffusion. En phase ascendante de Saturne, elles se focalisent sur certains hommes dont elles tentent d’obtenir les  (diverses) faveurs. En phase descendante, elles  se mettent au service de certains messages transmis par les hommes sous une forme qui leur est assimilable par son caractère mathématique, schématique, pour les répandre autour d’elles. Mais on peut se demander si actuellement les femmes parviennent à assumer pleinement une telle fonction, tant elles n’ont en tête que d’imiter les hommes, hormis dans le cas de la création qui est impliquée dans la phase ascendante, tant physiquement que moralement. Mais à la procréation liée à l’anatomie du corps, il y a la création  dans le cadre dune anatomie de la psyché…
Nous opposerons imitation et inspiration.  Imiter signifie reproduire ce que l’on observe. S’inspirer signifie prendre exemple, s’efforcer d’éveiller en soi les facultés permettant de parvenir  à quelque chose de comparable au modèle. Les femmes semblent condamnées à imiter littéralement   ce qu’elles voient, les hommes à le « recréer »  Si les hommes ont vocation à éveiller chez ceux qui leur sont proches des facultés comparables aux leurs, un tel exercice ne fonctionne guère pour les femmes lesquels doivent se contenter de plagiats. En fait, d’un point de vue identitaire, les hommes peuvent s’identifier à une longue lignée de génies, ce qui est évidemment motivant, chose que les femmes ne peuvent guère faire par manque d’exemples féminins, par trop rares. Il faudrait carrément  interdire les livres d’Histoire qui rappelleraient par trop la faculté des hommes à pouvoir parvenir à une certaine unicité individuelle que les femmes ne  peuvent que leur envier. L’Histoire de l’Humanité est un camouflet permanent pour les femmes lesquelles seraient probablement  tentées d’en interdire la lecture.

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